Dans ce monde miniature des dunes, chaque changement de vent, chaque goutte de pluie et toutes les forces élémentaires en jeu collaborent pour créer un témoignage vivant de la beauté de l’impermanence.
Paysages dans le paysage, les images, en capturant des fragments de ce monde, ouvrent sur de nouvelles dimensions. Au bord de ces mondes façonnés par les éléments, on compose, recompose, s’égare dans les échelles, convoquant tour à tour le vaste et le lointain pour revenir au miniature et à l’intime.
Une proximité qu’on rencontre aussi dans les textures, les lumières, les lignes, comme si on était à fleur de peau.
On se surprend alors à deviner une forme de souffle ou peut-être de murmure. Un secret ?